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Printemps luxuriant Fragments d'un monde encerclé
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Fragments d'un monde encerclé

1 700,00 €

Oeuvre unique

100x100cm

Peinture acrylique sur toile

"À travers les fenêtres du vivant, un printemps hésite."

Dans cette œuvre, la nature vibre au cœur de la toile, éclatante de vie, protégée par un enchevêtrement de cadres géométriques, comme autant de fragments de mémoire.

Un sentier vert émerge d’une forêt originelle, refuge ultime du vivant, où oiseaux, arbres, et animaux s’entrelacent dans une danse silencieuse. C’est un centre intact, un battement de cœur que la modernité n’a pas encore effleuré.

Mais autour, le monde se fragmente.

Les saisons glissent dans les marges : un printemps en fleurs, un été de chaleur lourde, un automne de spirales rouges, un hiver qui semble vaciller.

La ville gronde à l’horizon, hérissée de tours et de fumées. Entre la pierre et le végétal, entre la lumière et les ombres, l’œuvre capture l’ambivalence d’une époque où la beauté naît dans un écosystème vulnérable.

Chaque case, chaque abstraction, est une fissure ou une éclosion.

Ici, un arbre en fleurs témoigne de la tendresse des renaissances.

Là, une spirale rappelle la montée des températures et le désordre de l’air.

Plus loin, un marché déserté, une flaque oubliée, un parapluie sous un ciel d’orage : signes discrets mais insistants du dérèglement climatique.

L’artiste tisse, dans une écriture impressionniste et contemporaine, la mémoire d’un printemps vécu — un matin où tout semblait éclore, mais où le souffle même du monde semblait retenu.

Ce n’est pas un printemps innocent ; c’est un printemps lucide, conscient de sa fragilité.

À travers cette œuvre, se déploie une question silencieuse :

Que restera-t-il de nos printemps si nous ne veillons pas sur eux ?

Célébration et alarme, rêve et cri, ce tableau est un geste d'amour adressé au vivant.

Un appel, aussi discret que déterminé, à réapprendre à habiter le monde avec soin.

Cette œuvre est une traversée sensible, à la croisée de l’abstraction et du témoignage.

Au centre, un chemin forestier s’enfonce vers une clarté mystérieuse. Il est gardé par des oiseaux éclatants, par des animaux veilleurs, et par une végétation qui palpite. Ce cœur vivant, dense, intact, évoque la beauté brute de la nature avant toute intervention humaine : un sanctuaire.

Autour, les cases géométriques structurent la composition sans l’emprisonner.

Ces fenêtres colorées racontent, en un langage éco-impressionniste, les saisons du vivant et les empreintes humaines. Chaque carré semble flotter dans un équilibre fragile entre nature et architecture : spirales, arbres en fleurs, tourbillons d’air, escaliers vers nulle part, souvenirs d’un monde à la fois façonné et blessé.

La ville surgit en arrière-plan, ses silhouettes d’acier dressées sous un ciel divisé entre le bleu de l’espérance et les gris de l’incertitude.

De fines cheminées industrielles laissent échapper une brume trouble : symbole discret mais puissant de la tension entre croissance urbaine et dérèglement climatique.

Les couleurs — vert tendre, rose poudré, rouges vibrants, gris tourmentés — dialoguent sans hiérarchie, dans un mélange de douceur, de mélancolie et de résistance.

C’est le printemps, mais un printemps qui sait qu’il est précieux.

Histoire vécue – "Mémoire du printemps" :

Ce matin-là, l’air était chargé d’une humidité étrange, tiède et lourde à la fois.

Le printemps s'était installé comme un murmure, éclatant et silencieux.

Je marchais à travers la ville, les yeux baignés de souvenirs, capturant chaque nuance — l’explosion soudaine d’un cerisier contre une façade de brique, le chant obstiné d'un merle malgré le bruit des machines, les reflets argentés d’une flaque inattendue sur l’asphalte craquelé.

Il y avait ce sentiment persistant que le monde entier renaissait, mais aussi que quelque chose avait changé, imperceptiblement.

Sous la chaleur anormale de ce printemps, je ressentais le déséquilibre.

À l’ombre d’une cheminée d’usine, j’ai vu des enfants jouer, riant au milieu des poussières dorées par la lumière. Leur insouciance m’a bouleversé : ils ne savaient pas encore que cette saison, autrefois promesse éternelle, devenait désormais une exception, une fête fragile sous menace.

Ce jour-là, je me suis promis de capturer cette beauté imparfaite, ce combat silencieux entre la vie qui persiste et les forces qui l'effritent.

Cette toile est née de cette promenade.

C’est un printemps vécu, mais aussi un printemps en sursis.

Chaque case autour du jardin central est un fragment d'émotion :

un marché presque vide, un vélo sous la pluie, des arbres hésitant entre bourgeons et branches mortes, des silhouettes anonymes avançant sous des ciels incertains.

Cette œuvre est une célébration du vivant, mais aussi un appel discret :

protéger les saisons, les arbres, les enfants qui rient, la promesse du renouveau.

Car la nature, ce matin-là, m’a appris que le printemps n’est pas donné : il est confié.

Et que chaque souffle de vie que nous sauvons est une prière adressée à l’avenir.

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Oeuvre unique

100x100cm

Peinture acrylique sur toile

"À travers les fenêtres du vivant, un printemps hésite."

Dans cette œuvre, la nature vibre au cœur de la toile, éclatante de vie, protégée par un enchevêtrement de cadres géométriques, comme autant de fragments de mémoire.

Un sentier vert émerge d’une forêt originelle, refuge ultime du vivant, où oiseaux, arbres, et animaux s’entrelacent dans une danse silencieuse. C’est un centre intact, un battement de cœur que la modernité n’a pas encore effleuré.

Mais autour, le monde se fragmente.

Les saisons glissent dans les marges : un printemps en fleurs, un été de chaleur lourde, un automne de spirales rouges, un hiver qui semble vaciller.

La ville gronde à l’horizon, hérissée de tours et de fumées. Entre la pierre et le végétal, entre la lumière et les ombres, l’œuvre capture l’ambivalence d’une époque où la beauté naît dans un écosystème vulnérable.

Chaque case, chaque abstraction, est une fissure ou une éclosion.

Ici, un arbre en fleurs témoigne de la tendresse des renaissances.

Là, une spirale rappelle la montée des températures et le désordre de l’air.

Plus loin, un marché déserté, une flaque oubliée, un parapluie sous un ciel d’orage : signes discrets mais insistants du dérèglement climatique.

L’artiste tisse, dans une écriture impressionniste et contemporaine, la mémoire d’un printemps vécu — un matin où tout semblait éclore, mais où le souffle même du monde semblait retenu.

Ce n’est pas un printemps innocent ; c’est un printemps lucide, conscient de sa fragilité.

À travers cette œuvre, se déploie une question silencieuse :

Que restera-t-il de nos printemps si nous ne veillons pas sur eux ?

Célébration et alarme, rêve et cri, ce tableau est un geste d'amour adressé au vivant.

Un appel, aussi discret que déterminé, à réapprendre à habiter le monde avec soin.

Cette œuvre est une traversée sensible, à la croisée de l’abstraction et du témoignage.

Au centre, un chemin forestier s’enfonce vers une clarté mystérieuse. Il est gardé par des oiseaux éclatants, par des animaux veilleurs, et par une végétation qui palpite. Ce cœur vivant, dense, intact, évoque la beauté brute de la nature avant toute intervention humaine : un sanctuaire.

Autour, les cases géométriques structurent la composition sans l’emprisonner.

Ces fenêtres colorées racontent, en un langage éco-impressionniste, les saisons du vivant et les empreintes humaines. Chaque carré semble flotter dans un équilibre fragile entre nature et architecture : spirales, arbres en fleurs, tourbillons d’air, escaliers vers nulle part, souvenirs d’un monde à la fois façonné et blessé.

La ville surgit en arrière-plan, ses silhouettes d’acier dressées sous un ciel divisé entre le bleu de l’espérance et les gris de l’incertitude.

De fines cheminées industrielles laissent échapper une brume trouble : symbole discret mais puissant de la tension entre croissance urbaine et dérèglement climatique.

Les couleurs — vert tendre, rose poudré, rouges vibrants, gris tourmentés — dialoguent sans hiérarchie, dans un mélange de douceur, de mélancolie et de résistance.

C’est le printemps, mais un printemps qui sait qu’il est précieux.

Histoire vécue – "Mémoire du printemps" :

Ce matin-là, l’air était chargé d’une humidité étrange, tiède et lourde à la fois.

Le printemps s'était installé comme un murmure, éclatant et silencieux.

Je marchais à travers la ville, les yeux baignés de souvenirs, capturant chaque nuance — l’explosion soudaine d’un cerisier contre une façade de brique, le chant obstiné d'un merle malgré le bruit des machines, les reflets argentés d’une flaque inattendue sur l’asphalte craquelé.

Il y avait ce sentiment persistant que le monde entier renaissait, mais aussi que quelque chose avait changé, imperceptiblement.

Sous la chaleur anormale de ce printemps, je ressentais le déséquilibre.

À l’ombre d’une cheminée d’usine, j’ai vu des enfants jouer, riant au milieu des poussières dorées par la lumière. Leur insouciance m’a bouleversé : ils ne savaient pas encore que cette saison, autrefois promesse éternelle, devenait désormais une exception, une fête fragile sous menace.

Ce jour-là, je me suis promis de capturer cette beauté imparfaite, ce combat silencieux entre la vie qui persiste et les forces qui l'effritent.

Cette toile est née de cette promenade.

C’est un printemps vécu, mais aussi un printemps en sursis.

Chaque case autour du jardin central est un fragment d'émotion :

un marché presque vide, un vélo sous la pluie, des arbres hésitant entre bourgeons et branches mortes, des silhouettes anonymes avançant sous des ciels incertains.

Cette œuvre est une célébration du vivant, mais aussi un appel discret :

protéger les saisons, les arbres, les enfants qui rient, la promesse du renouveau.

Car la nature, ce matin-là, m’a appris que le printemps n’est pas donné : il est confié.

Et que chaque souffle de vie que nous sauvons est une prière adressée à l’avenir.

Oeuvre unique

100x100cm

Peinture acrylique sur toile

"À travers les fenêtres du vivant, un printemps hésite."

Dans cette œuvre, la nature vibre au cœur de la toile, éclatante de vie, protégée par un enchevêtrement de cadres géométriques, comme autant de fragments de mémoire.

Un sentier vert émerge d’une forêt originelle, refuge ultime du vivant, où oiseaux, arbres, et animaux s’entrelacent dans une danse silencieuse. C’est un centre intact, un battement de cœur que la modernité n’a pas encore effleuré.

Mais autour, le monde se fragmente.

Les saisons glissent dans les marges : un printemps en fleurs, un été de chaleur lourde, un automne de spirales rouges, un hiver qui semble vaciller.

La ville gronde à l’horizon, hérissée de tours et de fumées. Entre la pierre et le végétal, entre la lumière et les ombres, l’œuvre capture l’ambivalence d’une époque où la beauté naît dans un écosystème vulnérable.

Chaque case, chaque abstraction, est une fissure ou une éclosion.

Ici, un arbre en fleurs témoigne de la tendresse des renaissances.

Là, une spirale rappelle la montée des températures et le désordre de l’air.

Plus loin, un marché déserté, une flaque oubliée, un parapluie sous un ciel d’orage : signes discrets mais insistants du dérèglement climatique.

L’artiste tisse, dans une écriture impressionniste et contemporaine, la mémoire d’un printemps vécu — un matin où tout semblait éclore, mais où le souffle même du monde semblait retenu.

Ce n’est pas un printemps innocent ; c’est un printemps lucide, conscient de sa fragilité.

À travers cette œuvre, se déploie une question silencieuse :

Que restera-t-il de nos printemps si nous ne veillons pas sur eux ?

Célébration et alarme, rêve et cri, ce tableau est un geste d'amour adressé au vivant.

Un appel, aussi discret que déterminé, à réapprendre à habiter le monde avec soin.

Cette œuvre est une traversée sensible, à la croisée de l’abstraction et du témoignage.

Au centre, un chemin forestier s’enfonce vers une clarté mystérieuse. Il est gardé par des oiseaux éclatants, par des animaux veilleurs, et par une végétation qui palpite. Ce cœur vivant, dense, intact, évoque la beauté brute de la nature avant toute intervention humaine : un sanctuaire.

Autour, les cases géométriques structurent la composition sans l’emprisonner.

Ces fenêtres colorées racontent, en un langage éco-impressionniste, les saisons du vivant et les empreintes humaines. Chaque carré semble flotter dans un équilibre fragile entre nature et architecture : spirales, arbres en fleurs, tourbillons d’air, escaliers vers nulle part, souvenirs d’un monde à la fois façonné et blessé.

La ville surgit en arrière-plan, ses silhouettes d’acier dressées sous un ciel divisé entre le bleu de l’espérance et les gris de l’incertitude.

De fines cheminées industrielles laissent échapper une brume trouble : symbole discret mais puissant de la tension entre croissance urbaine et dérèglement climatique.

Les couleurs — vert tendre, rose poudré, rouges vibrants, gris tourmentés — dialoguent sans hiérarchie, dans un mélange de douceur, de mélancolie et de résistance.

C’est le printemps, mais un printemps qui sait qu’il est précieux.

Histoire vécue – "Mémoire du printemps" :

Ce matin-là, l’air était chargé d’une humidité étrange, tiède et lourde à la fois.

Le printemps s'était installé comme un murmure, éclatant et silencieux.

Je marchais à travers la ville, les yeux baignés de souvenirs, capturant chaque nuance — l’explosion soudaine d’un cerisier contre une façade de brique, le chant obstiné d'un merle malgré le bruit des machines, les reflets argentés d’une flaque inattendue sur l’asphalte craquelé.

Il y avait ce sentiment persistant que le monde entier renaissait, mais aussi que quelque chose avait changé, imperceptiblement.

Sous la chaleur anormale de ce printemps, je ressentais le déséquilibre.

À l’ombre d’une cheminée d’usine, j’ai vu des enfants jouer, riant au milieu des poussières dorées par la lumière. Leur insouciance m’a bouleversé : ils ne savaient pas encore que cette saison, autrefois promesse éternelle, devenait désormais une exception, une fête fragile sous menace.

Ce jour-là, je me suis promis de capturer cette beauté imparfaite, ce combat silencieux entre la vie qui persiste et les forces qui l'effritent.

Cette toile est née de cette promenade.

C’est un printemps vécu, mais aussi un printemps en sursis.

Chaque case autour du jardin central est un fragment d'émotion :

un marché presque vide, un vélo sous la pluie, des arbres hésitant entre bourgeons et branches mortes, des silhouettes anonymes avançant sous des ciels incertains.

Cette œuvre est une célébration du vivant, mais aussi un appel discret :

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